Seltsam: Warum wird gerade jetzt so getan, als wären HIROS, die Rolle des BND usw. so neu und unbekannt? Irgendwie kam mir das Kürzel HIROS bekannt vor. Ich fand dazu nicht nur auf meiner Platte, sondern auch immer noch im Netz folgendes zu lesen - von mir komplett hier hinein kopiert
(Quelle:
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/11/les-allemands-croientils-encore-%C3%A0-leurope-spatiale-.html):
(Quelle:
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/11/les-allemands-croientils-encore-%C3%A0-leurope-spatiale-.html):
05/11/2009
Les Allemands croient-ils encore à l'Europe spatiale militaire?
En Europe, tout semblait clair en matière d'imagerie spatiale militaire : aux Français, l'observation optique (Spot, Hélios..) et aux Allemands, l'observation radar, avec Sar-Lupe. Ces deux techniques complémentaires devant être mises en commun au sein de Musis , un programme européen associant l'Italie (Cosmo SkyMed), ainsi que la Belgique, l'Espagne et la Grèce.
Patatras ! On apprend que l'Allemagne cherche à développer son propre satellite d'observation optique, baptisé Hiros (High Resolution Optical Resolution Satellite System). Hiros aurait une résolution de 50 à 70 cm. Orbitant entre 490 et 685 km d'altitude, ce satellite espion, doté de capacités infra-rouges, peserait 820 kg. Sa durée de vie prévisible est de cinq ans.
Il s'agit d'un projet du DLR, l'agence fédérale pour l'espace, qui est, semble-t-il, soutenue par le BND (Bundes Nachrichten Dienst), l'équivalent allemand de la DGSE. Les industriels allemands bénéficieraient des retombées de ce programme.
Côté français, on est "embêté" et l'on s'interroge sur les intentions allemandes. D'autant que la France a renoncé à développer son propre satellite radar Horus.
L'Allemagne semble aujourd'hui manquer quelque peu d'enthousiasme pour le développement du segment sol de Musis - celui qui permettrait de mettre en commun les images européennes. Berlin refuserait ainsi que les fonctions programmation des satellites et échanges des images soient couplées dans le même système. "On s'oriente vers un simple partage d'images, avec la juxtaposition de systèmes" redoute un proche du dossier.
Patatras ! On apprend que l'Allemagne cherche à développer son propre satellite d'observation optique, baptisé Hiros (High Resolution Optical Resolution Satellite System). Hiros aurait une résolution de 50 à 70 cm. Orbitant entre 490 et 685 km d'altitude, ce satellite espion, doté de capacités infra-rouges, peserait 820 kg. Sa durée de vie prévisible est de cinq ans.
Il s'agit d'un projet du DLR, l'agence fédérale pour l'espace, qui est, semble-t-il, soutenue par le BND (Bundes Nachrichten Dienst), l'équivalent allemand de la DGSE. Les industriels allemands bénéficieraient des retombées de ce programme.
Côté français, on est "embêté" et l'on s'interroge sur les intentions allemandes. D'autant que la France a renoncé à développer son propre satellite radar Horus.
L'Allemagne semble aujourd'hui manquer quelque peu d'enthousiasme pour le développement du segment sol de Musis - celui qui permettrait de mettre en commun les images européennes. Berlin refuserait ainsi que les fonctions programmation des satellites et échanges des images soient couplées dans le même système. "On s'oriente vers un simple partage d'images, avec la juxtaposition de systèmes" redoute un proche du dossier.
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